Analyse de défaillances : engrenages et roulements

Une formation du Cetim pour comprendre les causes des défaillances des engrenages et roulements pour mieux les éviter. Vous pourrez ainsi mettre en œuvre des actions corre20ctives appropriées en utilisant une démarche structurée d’analyse d’avaries.

Deux sessions en 2018 :

Consultez le programme en cliquant ici

Care and Maintenance of Bearings

Une publication intéressante chez SNR (NTN Corporation) qui présente les différents cas de défaillance pouvant affecter des roulements.

Pour accéder au document cliquez ici

Et si vous rencontrez un problème de défaillance de roulement n’hésitez pas à contacter les experts du Cetim.  En confiant votre expertise au Cetim, centre technique indépendant et neutre, vous êtes assuré d’une approche objective, compétente et factuelle.
Ses équipes dédiées pratiquent l’analyse des défaillance au quotidien et s’engagent sur des diagnostics.
Savoir pourquoi est son cœur de métier.
Savoir quoi faire est son atout, pour que vous tiriez de cet événement une nouvelle force de compétitivité !
Le Cetim est leader français en analyse de défaillances mécaniques, enrichi de son expérience de 30 ans, de 1000 nouveaux cas traités par an dans tous les domaines de la mécanique.

Détériorations des roulements

SNRUn document de SNR-Industry fait la synthèse des détériorations pouvant survenir dans les roulements.

Vous rencontrer ce type de défaillance, n’hésitez pas à contacter les experts du Cetim, ils vous aideront à trouver une solution.

SQR

À propos de la durée de vie des roulements – Cetim

À propos de la durée de vie des roulements – Cetim.

Dans les roulements actuels, les dégradations qui mènent à la défaillance des roulements ne s’amorcent plus en sous-couche, mais en surface. Le lubrifiant joue donc un rôle plus important encore qu’auparavant dans la durée de vie des roulements.

Cette action vise à déterminer les paramètres prépondérants dans le rôle du lubrifiant, en vue d’une modélisation ultérieure.

Les essais de fatigue de contact ont montré que le mécanisme dominant dans ce type de sollicitation est l’interaction physico-chimique qui se produit entre les surfaces et les additifs présents dans le lubrifiant. À partir d’une température donnée, certains composants des additifs réagissent avec le fer pour former une couche protectrice sur les surfaces de contact.

Ces couches réduisent fortement les coefficients de frottement et les surfaces se trouvent séparées. Il devient alors difficile de distinguer l’effet de paramètres tels que la rugosité des surfaces ou le taux de glissement.